C'est lequel le bon bouton ?!
Sur ce sujet j’ai pas non plus un milliard de choses à dire mais quand même, je pouvais pas laisser passer ça. Comme le titre de l’article vous l’aura déjà signifié, en Malaisie il y a quand même un petit délire avec les interrupteurs.
Déjà il faut dire qu’il fait quand même bien chaud dans ce pays : je crois que la température ne descend jamais en dessous de 20 °C. Par conséquent il faut bien se rafraichir quand on est à l’intérieur. Pour cela vous avez deux possibilités : les ventilateurs ou la clim’ si vous en avez les moyens. Une grande majorité de ces interrupteurs correspondra donc à un ou des ventilateurs au plafond.
Mais c’est pas tout ! On dirait aussi que les Malaisiens aiment bien avoir plusieurs lampes différentes et donc de facto, tout autant d’interrupteurs. On se retrouve alors devant certains panneaux avec une multitude de petits boutons qui me laissent un peu perdu mais somme toute très amusé, comme à l’image de la salle municipale où avaient lieu les cours d’anglais :
Face à cette situation, deux approches différentes : l’approche mémorielle où on essaie de se rappeler de ce qui correspond à quoi, ou bien l’approche empirique où on appuie jusqu’à ce que ça marche. Chacun son style.
Ah oui et autre détail concernant les maisons là-bas, c’est que j’ai pu observer qu’il y avait (presque) toujours une grille devant la porte d’entrée, fermée à l’aide d’un cadenas.
J’imagine que c’est pour pouvoir aérer la maison tout en gardant une porte fermée, mais c’est vrai que je n’ai vu ça qu’en Malaisie jusque-là.
La Malaisie ça me manque tout de même, j’espère y retourner un de ces quatre. Et puis en tonton gâteux je n’ai pas pu m’empêcher de penser à mon p’tit n’veu qui était complétement à fond sur toutes sortes de bouton et d’interrupteur quand il était petit :
« Appuie Tonton, appuie ! »